Neuchâtel, Suisse, 6 décembre 2019 – A l’approche de l’édition 2019 du Championnat du monde de unihockey féminin, les meilleures joueuses de la planète se préparent à faire vibrer les spectateurs du monde entier. 

La Suède, championne du monde en titre, vise un neuvième titre mondial et l’entraîneur Asa Karlsson dispose d’un large éventail de talents à exploiter. Anna Wijk, Amanda Delgado Johansson, Moa Tschöp et Emelie Wibron ont toutes été sélectionnées dans l’équipe présente à Neuchâtel. 

Pour détrôner les Suédoises, leurs voisines et rivales de la Finlande qui ont terminé vice-championnes du monde il y a deux ans. La tireuse d’élite Veera Kauppi portera les espoirs finlandais sur ses épaules, car elle vise l’or pour la première fois depuis 2001.

La Suisse, le pays hôte et troisième mondiale, tentera de décrocher une place sur le podium et de décrocher une médaille devant ses supporters. Corin Rüttiman est la cheville ouvrière de l’équipe de Rolf Kern, à la recherche de son premier titre en 14 ans. L’Allemagne et la Pologne, qui espèrent contrecarrer leurs plans et ceux des Finlandaises du Groupe A, ne sont pas en reste. Les Allemandes ont un dangereux atout en la personne d’Anna Lena Best, tandis que les Polonaises peuvent compter sur leur propre “Sainte Trinité” de Justyna Krzywak, Weronika Noga et Dominika Buczek. 

Quatrième, cinquième et sixième têtes de série, la République tchèque, la Lettonie et la Slovaquie se trouvent dans le Groupe B avec la Suède, et toutes espèrent se qualifier pour les quarts de finale. La capitaine tchèque Eliška Krupnová disputera son cinquième Championnat du monde, après avoir fait partie de l’équipe qui a remporté sa seule médaille dans cette compétition, une médaille de bronze en 2011.

La Lettonie et la Slovaquie ont été privées jusqu’à présent d’une place sur le podium dans cette compétition, mais les deux équipes voudront battre ce record à Neuchâtel. Simona Grapena, l’une des meilleures joueuses lettones, tentera de porter son équipe, tandis que la star slovaque Paulína Hudáková jouera un rôle clé pour aller chercher mieux que la cinquième place d’il y a deux ans. 

Par ailleurs, huit autres nations se disputeront la qualification pour les quarts de finale et conforteront leur place parmi les meilleures au monde. Le Danemark, l’Estonie et la Norvège sont trois des équipes émergentes d’Europe et se battront dans le Groupe C avec le Japon, tête de série asiatique. Dans le Groupe D, l’Australie et les Etats-Unis, pays anglophones, espèrent créer la surprise, tandis que Singapour et la Thaïlande complètent la liste pour ajouter un peu d’épices de l’Asie du Sud-Est à un groupe d’outsiders en pleine forme.

Seize équipes. Trois places sur le podium. Un champion. Neuchâtel est prête et le monde du unihockey attend de découvrir qui régnera en maître en 2019.

 

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